jeudi 27 février 2014

c'est pas la forme...

J'ai eu bcp de soucis ces derniers temps. Entre autre mon fils s'est blessé au pied et ne peut pas aller à la crêche depuis 10 jours et encore pour une semaine. Il remarche depuis qq jours et s'ennuie un peu à la maison. Il me fait tourner en bourrique. Heureusement que qq copines sont venues nous voir.

Je suis à 25SA. J'ai pas mal grossi, j'ai du mal avec ce corps. Les hormones jouent sans doute sur mon humeur, je me sens morose voire déprimée depuis qq semaines sans bien savoir expliquer pourquoi. Sans doute la fatigue joue, pourtant je dors bien la nuit, le petit n'appelle plus. J'espère que le mini-bb ne ressent pas trop mon état, la SF a été plutot rassurante à ce sujet, me disant qu'il est encore pas mal ds sa bulle à ce stade.




2 commentaires:

  1. Comme je te comprends...
    Suis dans le même état, pour aucune raison apparente... Moi je crois que le bébé ressent les coups de stress mais je ne pense pas qu'il ressente le blues ou la déprime car ça ne se traduit pas vraiment physiquement... Enfin j'en sais rien...

    C'est vraiment pas de bol la blessure de ton fils, tu n'avais pas besoin de ça en ce moment !
    Bises et courage, vis au jour le jour, te pose pas trop de questions...

    RépondreSupprimer
  2. Je te comprends moi aussi. Avoir un enfant en bas âge toute la journée quand on est enceinte n'est pas de tout repos. Ils nous sollicitent tout le temps,sont toujours en quête d'activités et ne tiennent pas en place. Et quand ils sont malades (ou blessés, je compatis), c'est encore moins évident car ils ont besoin de deux fois plus d'attentions.
    Ma hantise c'est les épisodes de gastro, où l'on passe ses nuits et ses journées à changer, laver enfant, lit et sol...
    Beaucoup de billets en ce moment sur la blogo parlent de l'image de notre corps, détériorée par la grossesse et/ou les traitements. Moi non plus je n'en peux plus et je ne peux même pas dire que j'ai si hâte que ça de le retrouver car mon ventre est déjà bien bousillé et j'ai déjà conscience des dégâts.
    Enfin,bon courage.
    Bisous

    RépondreSupprimer