vendredi 18 février 2011

vive le we?

Ce soir j'apprends encore une grossesse, via FB.
Demain j'irai acheter le lit parapluie pour le couple d'amis, car zhom n'a pas réussi à convaincre ses parents de s'en occuper. Ensuite nous irons chez eux voir les amis en question et leur petite fille née en décembre. Parce que je n'ai pas eu le courage d'inventer une nouvelle excuse pr les éviter et pas voulu laisser l'homme affronter encore ça seul.
Ce soir je suis angoissée et si fatiguée.

Des fois je me mettrais des baffes de ne pas arriver à prendre soin de moi mieux que ça. Foutue éducation à base de "toujours garder la face"...


6 commentaires:

  1. Garder la face, oui... Celle de book, pourquoi tu t'en débarrasses pas?? moi je n'y suis pas, et je crois que ça m'évite quelques claques...
    Bisou et courage, une fois que ce samedi-épreuve sera passé, il te restera un dimanche à savourer avec ton homme.

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  2. Hum, oui, toujours devoir garder la face et s'oublier complètement parce que c'est commme ça qu'on nous a éduqué c'est dur dur. Entre ça et la culpabilité vis à vis des autres, l'attente d'un enfant a des côtés très difficiles à vivre.
    Je te souhaite maintenant de te sentir soulagée après ces épreuves du we et pouvoir essayer de passer à autre chose que le bonheur des autres qui fait parfois tant de mal à voir.
    Gros bisous, bon courage

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  3. ouh la..pas cool tout ça..bon courage à toi

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  4. J'espére que cette soirée n'aura pas été si terrible... Je te le souhaite de tout coeur en tout cas. Biz

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  5. et ben, y en a des filles enceintes autour de toi... que c'est dur...
    Faut pouvoir craquer et lâcher prise parfois, s'autoriser à se laisser aller et se faire consoler par son chéri / sa maman / sa soeur / ses copines. Ca fait du bien. On a le droit d'avoir des coups de mou...
    Bisous

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  6. Tu ne te sens pas prête à, simplement, dire la vérité? Parfois ça peut marcher...
    Je t'embrasse fort, je ne commente plus très souvent mais ça ne m'empêche pas de penser à chacune. N'oublie pas que c'est bientôt ton tour, tu viens seulement de démarrer à zéro. Bises

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